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This article looks at the current state of sacred prostitution studies in both ancient Near Eastern and Classical Studies through the review of two books published in Both books reveal that the current trend is to dismiss the existence of sacred prostitution in antiquity, one by attempting not entirely successfully to agree with that assessment, and one by condemning that dismissal altogether.
Journal of the Canadian Society for Mesopotamian Studies, Cependant, le sexe rituel n 'est pas de la prostitution meme si le resultat consiste en une offrande au temple. La Bible ainsi que les auteurs grecs et chretiens etaient en fin de compte responsables de cette erreur. Les textes provenant de Ugarit en Syrie mentionnent ['important statut des pretres et pretresses qdshm comme «ceux qui sont consacres» sans suggerer que leur role etait sexuel, sans non plus que l'on puisse dater ['evidence d'une «prostitution sacree» a Ugarit.
Le mot semitique mesopotamien qadishtu, habituellement traduit par «prostituee sacree», a aussi souffert de cette proximite: kharimtu, normalement traduit par «prostituee», etait souvent inclus dans les titres du personnel cultuel feminin. Pas plus que ne l 'eta it le tres haut statut de la pretresse entu, que les Sumeriens nommaient "la Dame qui est deesse». D'ailleurs, elle incamait probablement la deesse lnanna dans le «rite du Mariage Sacre» et avait des rapports sexuels rituels avec le roi incamant Dumu-zi.
Les textes appellent tout simplement lnanna la participante feminine, parce que la deesse prenait «possession» d'elle. Le roi pouvait de meme avoir incarne le dieu Dumu-zi. Until the late twentieth century, most scholars agreed that certain priestesses of the ancient Near East were "sacred prostitutes.
